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    En ce ciel  bleu d’azur, aux couleurs de Marie,

    Toute à cette harmonie empruntée de l’agate,

    Mon âme transportée rejoue les acrobates,

    De l’avoir entrevue et qu’elle m’ait souri.

     

    Esquissant tout l’éclat d’un tangible Bonheur,

    Sa présence s’impose en ce voyage ému

    Aux nobles poésies d’un jardin suspendu

    Où flottent des chansons comme des champs de fleurs.

     

    Serait-ce là l’aurore de la Destinée

    D’un esprit, plus léger qu’une bulle d’hélium,

    S’éloignant sans pleurer du monde ingrat des hommes

    Vers son rêve lointain et grand d’Eternité ?

     

    L.


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