• ET POURTANT... !

     

     

    Ô toi, femme qui passe sans te retourner,

    Dont la beauté flamboie sous le soleil d’été,

    Que j’ai envie de suivre, sans pourtant l’oser,

    D’un rêve délirant gardant l’étrangeté.

     

    Deux regards éclairés par la même étincelle

    Une seconde infime et pourtant bien réelle,

    Qui laissera en moi des regrets éternels.

    Un sourire échangé; bien frêle passerelle.

     

    Un rendez-vous manqué: tu poursuis ton chemin.

    Si je te laisse fuir, dans le fond je sais bien

    Qu’en revenant ici, peut-être que demain...

    J’adresse à tout hasard un clin d’œil au destin.

     

    Ô toi, l’inspiratrice de ce court poème,

    Ignorante du fait et de ce désir blême;

    Mon cœur de défaillir et ma raison de même...

    Que ne pouvoir te dire autrement que je t’aime!


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