•  

     

    O Doux Ravissement de mes yeux, de mon cœur,

    Tu sais bien que rien ne me ferait plus envie

    Que de t'offrir un plus intense ressenti,

    Dans un supplice interminable de douceurs.

     

    Tu le sais bien que, sous mes allures timides,

    Brûle en moi la passion de ton désir torride.

     

    Ne te plaindras-tu point d'un trop de gourmandise

    Lorsque ton pyjama volera en lambeaux,

    Que mes mains déliées, mes lèvres sur ta peau

    Assouviront nos homogènes convoitises?

     

    Ne me demande plus à présent d'être sage,

    Puisque tu le veux, le moins du monde confuse,

    Je n'accepterai cette fois aucune excuse

    Que, soit disant, ce ne serait pas de notre âge.

     

    Puisque tu le voulais, tu subiras l'audace

    De mes mots, succombant ardemment au plaisir

    Où je te conduirai, limite à défaillir,

    Feignant la surdité devant tes cris de grâces.

     

    Je le sais bien que, sous tes allures timides,

    Brûle en toi la passion de mon désir torride.

     

    Je m'en vais réveiller ma nature sauvage,

    Sans plus de retenues, d'un savant érotisme

    Où je ferai roussir tes envies d'héroïsme.

    Prépare-toi, j'arrive et j'ose… A l'abordage!

     

    L.


    votre commentaire
  •  

     

    Quoi que tu puisses dire ou faire

    Je n'aurai jamais de colère,

    Je ne suis pour toi, sans retour,

    Que toute Amitié, tout Amour.

     

    Aux réalités comme aux songes

    Il n'y aura point de mensonges,

    Je ne prendrai de libertés

    Sans ton accord explicité.

     

    J'ai pour toi le même désir,

    La peur semblable de souffrir

    Me tient lorsque tu n'es pas là,

    Je t'en supplie, ne t'enfuies pas.

     

    Je te voudrais à mes côtés

    Disons-le, pour l'Eternité,

    J'ai pour toi le plus grand respect,

    Et te veux telle que tu es.

     

    Demeure mon petit Génie,

    Ma Princesse et rousse Minnie

    Mon beau Papillon, mon Bonheur,

    La raison d'être de mon Coeur.

     

    L.


    votre commentaire
  •  

     

    Je ne sais pas toujours interpréter les signes,

    Lire les jeux de mots ni même entre les lignes

    Et, pour moi, qui adore être dans la lumière,

    Les messages, parfois, ne sont pas assez clairs.

     

    Je n'ai ni ton génie, ni ton intelligence,

    Je me blesse d'un rien et m'écorche au silence,

    Ma sensibilité vit dans la démesure

    Et j'ai besoin, par moments, que tu me rassures.

     

    Si la force est en moi, j'ai aussi des faiblesses,

    Le doute en fait partie, j'ai peur que tu me laisses.

    Je te vois, tu le sais, comme un cadeau du Ciel

    Et tu es devenue mon espoir essentiel.

     

    Dans ce monde blêmi succombant de tristesse,

    Je te voudrais heureuse, entourée de tendresse,

    Je voudrais ton bonheur, toi qui fais tout le mien,

    Ne laissons personne détruire notre lien.

     

    Ces rimes, je le sais, manque de poésie,

    Problème passager - dis-tu, de ressenti -

    Qui aurait pour raison cette grande fatigue

    Que je ressens depuis quelques temps. J'investigue...

     

    L.


    votre commentaire
  •  

     

    Pour tromper ton absence, en l'attente éphémère

    Face à l'éternité, je scrute dans l'Histoire,

    Dans les plus lointaines contrées de ma mémoire,

    La moindre trace de nos souvenirs d'hier.

     

    Cette envie de t'aimer, ce manque où je me meurs,

    Auront fait de mon songe une réalité,

    Et mon âme se pâme ainsi à méditer

    Au ton du renouveau d'un virtuel bonheur.

     

    Je t'écris sans arrêt pour combler ton silence.

    Un jour, peut-être, mes dédicaces en vers,

    Parfois jetées comme une bouteille à la mer,

    S'accrocheront aux rochers de tes espérances.

     

    Viens savourer, à l'horizon bleu de mes rêves

    Où tu réapparais, brune invariablement,

    Les cheveux libérés, comme nous, dans le vent,

    La vie, haute en couleurs, où les nues nous élèvent.

     

    L.


    votre commentaire
  •  

     

    Envie de te parler, désir de te rejoindre,

    Dans mes rêves fourbus, du fond des insomnies

    Qui ont pris possession maintenant de mes nuits,

    Besoin d'être avec toi et qui n'est pas le moindre.

     

    Je t'attends et t'appelle irrésistiblement:

    Je ne puis vivre séparée de ton aura,

    Brûlant de me blottir, fragile, dans tes bras

    Et de m'y reposer comme un petit enfant.

     

    Mon esprit angoissé, s'obsédant de questions -

    Quand tu t'occupes loin de moi, dois-je avoir peur

    Qu'une ou un autre me dérobe mon Bonheur? –

    S'alarme plus avant dans une affirmation.

     

    Dans la difficulté de capter ton message,

    Les journées de prisons sont longues, sans parloir.

    T'aimant intensément, touchée de désespoir

    Ma tristesse larmoie en diluviens orages.

     

    Envie d'être avec toi, te prendre sous mon aile,

    Enchanter le présent de nos lèvres unies

    Dans la complicité de tendresse infinie,

    Et de te protéger... Tout de toi m'ensorcelle.

     

    Je passe mes journées à chercher dans tes yeux,

    Au fond de ma mémoire, le plus fébrilement,

    L'écho contagieux de ton rire bienfaisant,

    Une subtile connivence à mes aveux.

     

    Mon coeur se briserait de trop d'éclats de rire,

    De folie, de si haut où je pourrais tomber!

    Dans l'impuissance de mes pennes mutilées,

    Que ton Amitié me pardonne mes délires.

     

    L.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique