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Par LLA le 22 Octobre 2013 à 17:05
O Doux Ravissement de mes yeux, de mon cœur,
Tu sais bien que rien ne me ferait plus envie
Que de t'offrir un plus intense ressenti,
Dans un supplice interminable de douceurs.
Tu le sais bien que, sous mes allures timides,
Brûle en moi la passion de ton désir torride.
Ne te plaindras-tu point d'un trop de gourmandise
Lorsque ton pyjama volera en lambeaux,
Que mes mains déliées, mes lèvres sur ta peau
Assouviront nos homogènes convoitises?
Ne me demande plus à présent d'être sage,
Puisque tu le veux, le moins du monde confuse,
Je n'accepterai cette fois aucune excuse
Que, soit disant, ce ne serait pas de notre âge.
Puisque tu le voulais, tu subiras l'audace
De mes mots, succombant ardemment au plaisir
Où je te conduirai, limite à défaillir,
Feignant la surdité devant tes cris de grâces.
Je le sais bien que, sous tes allures timides,
Brûle en toi la passion de mon désir torride.
Je m'en vais réveiller ma nature sauvage,
Sans plus de retenues, d'un savant érotisme
Où je ferai roussir tes envies d'héroïsme.
Prépare-toi, j'arrive et j'ose… A l'abordage!
L.
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Par LLA le 22 Octobre 2013 à 17:04
Quoi que tu puisses dire ou faire
Je n'aurai jamais de colère,
Je ne suis pour toi, sans retour,
Que toute Amitié, tout Amour.
Aux réalités comme aux songes
Il n'y aura point de mensonges,
Je ne prendrai de libertés
Sans ton accord explicité.
J'ai pour toi le même désir,
La peur semblable de souffrir
Me tient lorsque tu n'es pas là,
Je t'en supplie, ne t'enfuies pas.
Je te voudrais à mes côtés
Disons-le, pour l'Eternité,
J'ai pour toi le plus grand respect,
Et te veux telle que tu es.
Demeure mon petit Génie,
Ma Princesse et rousse Minnie
Mon beau Papillon, mon Bonheur,
La raison d'être de mon Coeur.
L.
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Par LLA le 22 Octobre 2013 à 17:02
Je ne sais pas toujours interpréter les signes,
Lire les jeux de mots ni même entre les lignes
Et, pour moi, qui adore être dans la lumière,
Les messages, parfois, ne sont pas assez clairs.
Je n'ai ni ton génie, ni ton intelligence,
Je me blesse d'un rien et m'écorche au silence,
Ma sensibilité vit dans la démesure
Et j'ai besoin, par moments, que tu me rassures.
Si la force est en moi, j'ai aussi des faiblesses,
Le doute en fait partie, j'ai peur que tu me laisses.
Je te vois, tu le sais, comme un cadeau du Ciel
Et tu es devenue mon espoir essentiel.
Dans ce monde blêmi succombant de tristesse,
Je te voudrais heureuse, entourée de tendresse,
Je voudrais ton bonheur, toi qui fais tout le mien,
Ne laissons personne détruire notre lien.
Ces rimes, je le sais, manque de poésie,
Problème passager - dis-tu, de ressenti -
Qui aurait pour raison cette grande fatigue
Que je ressens depuis quelques temps. J'investigue...
L.
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Par LLA le 22 Octobre 2013 à 17:01
Pour tromper ton absence, en l'attente éphémère
Face à l'éternité, je scrute dans l'Histoire,
Dans les plus lointaines contrées de ma mémoire,
La moindre trace de nos souvenirs d'hier.
Cette envie de t'aimer, ce manque où je me meurs,
Auront fait de mon songe une réalité,
Et mon âme se pâme ainsi à méditer
Au ton du renouveau d'un virtuel bonheur.
Je t'écris sans arrêt pour combler ton silence.
Un jour, peut-être, mes dédicaces en vers,
Parfois jetées comme une bouteille à la mer,
S'accrocheront aux rochers de tes espérances.
Viens savourer, à l'horizon bleu de mes rêves
Où tu réapparais, brune invariablement,
Les cheveux libérés, comme nous, dans le vent,
La vie, haute en couleurs, où les nues nous élèvent.
L.
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Par LLA le 22 Octobre 2013 à 16:56
Envie de te parler, désir de te rejoindre,
Dans mes rêves fourbus, du fond des insomnies
Qui ont pris possession maintenant de mes nuits,
Besoin d'être avec toi et qui n'est pas le moindre.
Je t'attends et t'appelle irrésistiblement:
Je ne puis vivre séparée de ton aura,
Brûlant de me blottir, fragile, dans tes bras
Et de m'y reposer comme un petit enfant.
Mon esprit angoissé, s'obsédant de questions -
Quand tu t'occupes loin de moi, dois-je avoir peur
Qu'une ou un autre me dérobe mon Bonheur? –
S'alarme plus avant dans une affirmation.
Dans la difficulté de capter ton message,
Les journées de prisons sont longues, sans parloir.
T'aimant intensément, touchée de désespoir
Ma tristesse larmoie en diluviens orages.
Envie d'être avec toi, te prendre sous mon aile,
Enchanter le présent de nos lèvres unies
Dans la complicité de tendresse infinie,
Et de te protéger... Tout de toi m'ensorcelle.
Je passe mes journées à chercher dans tes yeux,
Au fond de ma mémoire, le plus fébrilement,
L'écho contagieux de ton rire bienfaisant,
Une subtile connivence à mes aveux.
Mon coeur se briserait de trop d'éclats de rire,
De folie, de si haut où je pourrais tomber!
Dans l'impuissance de mes pennes mutilées,
Que ton Amitié me pardonne mes délires.
L.
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