• (Sans titre)

     

     

    C’était au soir du vingt et un mai, c’est certain.

    Je suis sortie d’un rêve en ce grand jour divin

    En flottant dans les airs, ainsi qu’une droguée,

    Mais droguée de bonheur; tu venais de m’aimer.

     

    Cinq heures du matin, malgré moi éveillée,

    Mes lèvres et mon corps, tout imprégnés de toi,

    Me donnent l’impression que tu es près de moi,

    Presque si proche que je pourrais te toucher.

     

    De l’autre côté de la nuit je te souris.

    Ondes, interférence ou bien télépathie,

    Peux-tu capter les messages que je t’envoie?

    Moi-même, je le sens que tu pensais à moi.

     

    Pourquoi je t’aime tant? Vraiment, je ne le sais.

    Mes sentiments pour toi sont comme une douleur

    Impalpable mais vraie, qui vient de l’intérieur,

    Et que par des mots je ne saurais exprimer.

     

    L'aube se lève et je suis toujours éveillée.

    Et même si mon corps n'était marqué de toi,

    J’aurais cette impression que tu es près de moi,

    Si proche que je peux te sentir me toucher.


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