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Le printemps qui revient va mettre à rude épreuve,
Dans l'intense désir que j'ai d'être avec toi,
Mon cœur romanesque et mon esprit d'hors-la-loi.
Choisis la cécité quand mes larmes t'émeuvent,
Garde ta fermeté face à mon inconscience,
Sois sourde à mon appel, en ne donnant pas corps
A mon avide aura qui sans arrêt t'implore.
Protégeons l'avenir d'un excès de prudence.
D'avoir enfin compris l'objet de ton silence,
Et, devant l'importance extrême de l'enjeu,
Je saurai accepter ta règle de nos jeux.
J'ai foi en toi, je t'aime et je te fais confiance.
Sous l'éclat merveilleux de ton intelligence,
- De mon plus grand regret, que n'aurai-je donné
Pour te revoir roussir de cette Vérité! -
Continue, guide-moi, sois ma bonne conscience,
Sans te préoccuper de l'incessant délire
Qui me fait réclamer et ta voix et ton rire
Dont l'attente fébrile étaye ma patience.
L.
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De l'aurore au couchant, du crépuscule à l'aube,
L'ombre de mes pensées, d'une ardeur audacieuse,
S'immisce insinuante en les plis de ta robe...
Les sens-tu t'effleurer de leur soif élogieuse?
Lovely dream, will you be mine...
Forever be My Valentine <3.
Voulant t'auréoler d'un rêve de tendresse,
Je deviendrai pour toi si cruellement douce
Que nos corps emmêlés ne seront que caresses,
Dans l'accomplissement d'un voeu qui se trémousse.
You are my hope and my sunshine,
Please let me be your Valentine.
Epousons-nous de nos baisers insoutenables,
Envoûtant nos esprits d'osmoses fusionnelles
Aux supplices de nos désirs interminables
Pour un enchantement de printemps éternels.
Lovely dream, when you'll be mine,
You're allways be My Valentine <3.
Je viens dessiner pour toi un songe parfait,
De tout l'empressement voluptueux de ma cour,
Car, c'est de mes doigts sur ta peau que j'écrirai,
Infiniment, mes plus beaux poèmes d'amour.
L.
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Si je t'avais perdue, je le sais maintenant,
Traînant dans mon sillage une coquille vide,
Sans plus de goût à rien, d'une absence livide,
J'errerais dans ma vie ainsi qu'un revenant.
Si tu n'étais plus là, tout me serait égal,
Je subirais mon temps, SDF du cœur,
Sans espérer jamais retrouver le bonheur,
Et je m'abîmerais sans fin dans le banal.
Je jetterais ma plume au feu de ma passion,
Mon esprit poussiéreux tomberait dans l'oubli,
Il s'alzheimererait de songes affaiblis
Dans un autisme sourd, prostré d'inspiration.
Tu es tout ce printemps dont je n'osais rêver
Bien que l'ayant touché dans le prémonitoire,
Tu es, des lendemains, ma promesse d'espoir,
L'unique enchantement qui su me captiver.
Ne m'abandonne pas, j'ai tant besoin de toi,
Je te veux jour et nuit, ici, tout contre moi
Et bien que rebelle, je ne veux d'autres lois
Que les tiennes; voici ma profession de foi.
De cet aveu, personnel et confidentiel,
Que j'aurais tant voulu murmurer, ô merveille,
De mon souffle en frissons versés à ton oreille,
Que tu saches combien tu es mon essentielle.
L.
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Entre nous deux, qui précisément me dira,
Sachant impudemment que nos cœurs, de concert,
Eperdument, l'un à l'autre se sont offerts,
L'instant où la magie de l'amour opéra?
Nous valserons là-haut dans la même mesure,
Nos deux cœurs affolés ainsi qu'un métronome
En dénotent dès lors l'indéniable prodrome,
En rythmiques promesses aux portées si pures.
Si j'en goûte déjà l'harmonie symphonique
Au miroir amoureux de tes rêves cosmiques,
Mon songe s'abandonne ému et nostalgique
Au sein d'un crescendo lyrique et poétique,
En quête d'un présent, dans nos montées de gamme,
Dans une orchestration bien moins subliminale
De nos esprits flottants dans le temps sidéral,
D'un corps à corps qui fera de toi une femme.
Nos désirs libérés en voluptés d'arpège,
Dans cette eurythmie parfaite de nos accords,
Etoileront les cieux, dans l'envers du décor,
De nos intimités d'aveux en florilège,
Lorsque enfin, sous nos doigts absolus et dociles,
Nos corps s'envoleront vers des sphères admises
Dans un duo charmant de doubles vocalises
Au gré de nos fantaisies tendres et subtiles.
L.
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Enchantement d'un rêve matérialisé,
Ce matin mémorable, empreinte de bonheur
Aux frissons d'Absolu de toute éternité,
Demeurera gravé à jamais dans mon cœur.
Un miracle accomplis sous un savant contrôle
Que je ne sus point lire à ta face blêmie,
Quand ta tête longtemps enfouie à mon épaule
Me fit croire que tu t'y étais endormie.
Et mes bras refermés sur ton apaisement,
Après que ma bouche ait butiné ton oreille,
Ma mémoire a gardé tout le côté troublant
Des sensations émues de ton charmant éveil.
Dans une approbation mutuellement sereine
De ces intimités qui scellaient nos Destins,
Tes lèvres ont osé en épouser les miennes
Dans l'accomplissement de nos désirs communs.
O émoi bienvenu, affolant nos deux cœurs
Battant à l'unisson, qui retrouva mon corps,
Tant heureux que surpris, haletant et en sueur
Dans la sensationnelle aura de cette aurore!
Au risque d'une condamnation sans remords
D'un seul pêché commis, celui de gourmandise,
J'en redemande encore, encore et plus encore…
Reviens quand tu voudras m'en faire la surprise.
L.
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