• Toi... émoi

     

     

    L'harmonie nous attend, donnons-nous rendez-vous,

    Le Ciel consacrera nos rêves les plus fous

    Dans l'avenir éblouissant qui s'offre à nous...

      

    L.

  •  

     

    Complices qu'ils seront d'un Bonheur magistral,

    Bannissant à jamais ce silence maudit

    Dont les affres tourments donnaient mort à ma vie,

    Bientôt tous ces mots tus ne nous feront plus mal.

     

    En humbles serviteurs d'un noble sentiment,

    Ces mots libres enfin, comme nous, affranchis

    De toute castratrice censure, interdits,

    Délieront nos deux coeurs de leur cruel carcan.

     

    Messagers avertis guérissant tes blessures,

    J'en ornerai tes nuits, j'en fleurirai tes jours

    De caresses d'aveux en prémices d'Amour,

    Miraculeusement, dans d'envoûtants murmures.

     

    Et dans l'intensité d'impromptues insomnies

    Nous ne pleurerons pas l'agonie des brimades

    Lorsque s'élèveront d'augustes sérénades

    Dans les cieux étoilés d'émotions infinies.

     

    Lorsque le geste aux déclarations éperdues,

    Dans une poésie de subtile éloquence,

    Verra concrétiser cette prochaine alliance,

    Les mots, je te promets, ne nous blesseront plus.

     

     

     

     

    For ever banishing this blasted silence, thus,

    In the throes of torment, to my life, bringing death,

    With complicity of masterly happiness,

    Very soon, quiet words would no more trouble us.

     

    For a noble feeling playing their humble parts,

    Those free words, just like us, emancipated

    From castrated censorship and ways prohibited,

    From their cruel shackles, will untie our two hearts.

     

    Healing your injuries, with these smooth messengers

    I will adorn your nights and flower all your days

    From romantic loving prelude to tender says,

    Miraculously, in such enchanting whispers.

     

    We would not cry for bullying slow death

    When magnificent serenade will rise

    Through infinite emotion into the starry skies,

    In the intensity of unexpected sleeplessness.

     

    When passionate gesture will make coming true,

    In a poetic and subtle eloquence,

    The imminence of our further romance,

    Anymore, words will not hurt us, I swear to you.

     

    L.

     


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    Elle est venue à moi un peu comme un fantôme

    Par les brumes d'un songe aux rousseurs de bonheur.

    Dans les intimités profondes de mon cœur,

    L'amour inespéré a planté son rhizome.

     

    Elle est venue à moi comme une apparition

    Dans l'espace invisible où sourdent les pensées

    D'espérances fleuries aux magies insensées,

    Mon âme subjuguée mourut d'inclination.

     

    Moi, qui n'attendais rien d'un présent séculier,

    Je me mis ardemment à scruter le silence,

    Dans l'obsession d'entrer dans cette résonance

    Qui marquait mon destin d'un aveu singulier.

     

    Elle est venue à moi, et mon être amoureux,

    Dans une volonté plus fondée qu'un mirage,

    Rêvant de voluptés, voudrait lui rendre hommage

    Dans un chemin de vie qui comblerait ses vœux.

     

    Dans mon esprit errant, son souvenir me hante,

    Et mon cœur ne bat plus qu'en l'attente idolâtre

    De l'heure où, incarnant ce miracle folâtre,

    Elle viendra vers moi telle une revenante.

     

    L.


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  •  

     

    Si tu partais, – effaçons ce passage sombre -

    Je ne resterai pas très longtemps immobile,

    Je prendrai, pour toujours, la forme de ton ombre;

    Partout je te suivrai, silencieuse et docile.

     

    Dans mon coeur, où tu es, je t'emporte partout,

    J'y ai tatoué ton nom à l'encre indélébile.

    Je ne pourrai plus croire en un monde sans nous,

    Si l'on t'arrache à moi, que lui adviendra-t-il?

     

    Mon âme est à jamais gravée de ta mémoire

    Et ma peau a gardé l'empreinte de tes doigts.

    Permets-moi maintenant de prolonger l'histoire

    De nos si sublimes souvenirs d'autrefois.

     

    Ne t'en vas pas. Si le présent est imparfait,

    Le futur est et restera Notre Avenir:

    Nous deux, main dans la main... Ce n'est plus un secret!

    Si tu ne reviens pas, laisse-moi revenir.

     

    Notre Destin ne mérite-t-il pas l'effort

    De remercier le Ciel, qui nous offre... la VIE?

    Ne t'en vas pas, mais reviens incendier mon corps,

    Infiniment, sur le bûcher de tes envies.

     

    L.


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    Ne t'inquiète pas de mes larmes,

    De mes cris d'appel au secours,

    L'émotion parfois me désarme,

    Mais ne pleure que par Amour.

     

    Un mal, aussi fou que le bien

    Et égal en intensité,

    Chacune de nous a le sien!

    N'oublions pas l'Eternité!

     

    N'oublions jamais nos promesses

    Dans la souffrance d'un instant,

    Epaulons-nous de nos tendresses,

    Virtuellement, en attendant...

     

    Pensons et rêvons à demain

    Tout comme à une île lointaine

    Où voguerait notre Destin,

    Et garde ta main dans la mienne.

     

    Ne t'inquiète pas de mes larmes,

    Je ne pleure que par Amour,

    Juste lorsque mon coeur s'alarme

    De ne te sentir alentour.

     

    L.


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    Le printemps qui revient va mettre à rude épreuve,

    Dans l'intense désir que j'ai d'être avec toi,

    Mon cœur romanesque et mon esprit d'hors-la-loi.

     

    Choisis la cécité quand mes larmes t'émeuvent,

     

    Garde ta fermeté face à mon inconscience,

    Sois sourde à mon appel, en ne donnant pas corps

    A mon avide aura qui sans arrêt t'implore.

     

    Protégeons l'avenir d'un excès de prudence.

     

    D'avoir enfin compris l'objet de ton silence,

    Et, devant l'importance extrême de l'enjeu,

    Je saurai accepter ta règle de nos jeux.

     

    J'ai foi en toi, je t'aime et je te fais confiance.

     

    Sous l'éclat merveilleux de ton intelligence,

    - De mon plus grand regret, que n'aurai-je donné

    Pour te revoir roussir de cette Vérité! -

    Continue, guide-moi, sois ma bonne conscience,

    Sans te préoccuper de l'incessant délire

    Qui me fait réclamer et ta voix et ton rire

    Dont l'attente fébrile étaye ma patience.

     

    L.


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